Le niveau baisse !

< janvier 2017 (H.-S. 81) >

C'est en tous cas ce qui ressort nettement d'une récente étude : le quotient intellectuel moyen s'afaisse dans plus d'un pays, et la France ne fait malheuresement pas exeption à la règle. Serions-nous donc en train de nous abettir ? Et, si oui, pourquoi ? D'aucuns font le procés de ces perturbateurs endocriniens que sont sensés être solvants et pesticides. D'autres prennent à parti Internet. D'autres encore, plus philosophes, soulignent que l'intelligence humaine a dorénavant atteint son acmée, et que, conséquamment, elle ne peut plus que déclinner. Raison de plus pour stimuler ici-même ce qu'il reste de nos très chères neurônes : vous ne voudriez pas que l'on se satisfit d'un QI cuit ?

 

en tout cas

s'affaisse

malheureusement

exception

abêtir

procès (accent grave)

censés

prennent à partie

acmé

conséquemment (cet adverbe a été formé à partir de l'adjectif conséquent)

décliner

ici même (sans trait d'union)

chers (neurone est du masculin)

neurones (pas d'accent circonflexe)

satisfît (il s'agit d'un imparfait du subjonctif, entraîné par le verbe vouloir)